Ce non massif (au referendum du 5 juillet en Grèce) est l’expression de la résistance des travailleurs et du peuple contre les mesures d’austérité, les privatisations et la destruction des services publics, la remise en cause des conventions collectives, les licenciements. (…)
Bien évidemment la situation du peuple français n’est pas identique à celle du peuple grec.Il n’en reste pas moins qu’on retrouve les mêmes acteurs et les mêmes interrogations, au plan national et au plan local.